Les confirmands du secteur de Champagnole
au Carmel de Saint-Maur
Nous avons passé, avec nos supers animateurs, une journée entière chez les sœurs du Carmel. Ce fut pour chacun d'entre nous un enrichissement culturel du fait que nous avons eu le bonheur de rencontrer sœur Martine, au Carmel depuis 21 ans et Sœur Marie-Teresa, au Carmel depuis l’âge de 18 ans, afin de leur poser quelques questions.
A l'origine, les Carmes étaient des ermites qui suivaient les pas d'Elie le prophète.
Une communauté de Carmélites vivait à Lons-le-Saunier depuis 1863 mais le bruit de l'urbanisation et le manque de solitude l’a fait ''déménager'' à Saint Maur en 2001.
Par ce moment d'échange, nous avons appris que les sœurs ne passaient pas leur temps à prier mais qu'elles travaillaient aussi! Elles gagnent leur vie en fabriquant des hosties et en tenant une blanchisserie. Elles reçoivent aussi des dons, des amis leur donnent des coups de mains ce qui est très important pour elles !
Elles nous ont parlé de leur propre parcours. Nous avons donc abordé le thème de la vocation avec elles. Entrer dans une congrégation n'est pas donné à tout le monde : c'est un appel de Dieu, un appel que chacun d'entre nous peut ressentir dans sa vie... Cet appel, il peut arriver à tout âge et, si l'on se sent prêt, on peut s'engager dans ce mode de vie où l'on se consacre à Dieu. Et, même s'il n'est pas toujours facile d'être séparé de sa famille, c'est une vie très belle qui s'annonce, dans le silence, la paix, l'amour et la prière...
Les sœurs nous ont aussi fait part de leur emploi du temps et croyez-moi, c'est impressionnant ! Pour résumer, elles prient environ 7 h et travaillent 5 h … Sans compter les jours de solitude (une par mois), les retraites personnelles (10 jours par an) etc.
Nous avons donc appris beaucoup et avons été très impressionnés par ce mode de vie.
Marie-Noëlle
A l'origine, les Carmes étaient des ermites qui suivaient les pas d'Elie le prophète.
Une communauté de Carmélites vivait à Lons-le-Saunier depuis 1863 mais le bruit de l'urbanisation et le manque de solitude l’a fait ''déménager'' à Saint Maur en 2001.
Par ce moment d'échange, nous avons appris que les sœurs ne passaient pas leur temps à prier mais qu'elles travaillaient aussi! Elles gagnent leur vie en fabriquant des hosties et en tenant une blanchisserie. Elles reçoivent aussi des dons, des amis leur donnent des coups de mains ce qui est très important pour elles !
Elles nous ont parlé de leur propre parcours. Nous avons donc abordé le thème de la vocation avec elles. Entrer dans une congrégation n'est pas donné à tout le monde : c'est un appel de Dieu, un appel que chacun d'entre nous peut ressentir dans sa vie... Cet appel, il peut arriver à tout âge et, si l'on se sent prêt, on peut s'engager dans ce mode de vie où l'on se consacre à Dieu. Et, même s'il n'est pas toujours facile d'être séparé de sa famille, c'est une vie très belle qui s'annonce, dans le silence, la paix, l'amour et la prière...
Les sœurs nous ont aussi fait part de leur emploi du temps et croyez-moi, c'est impressionnant ! Pour résumer, elles prient environ 7 h et travaillent 5 h … Sans compter les jours de solitude (une par mois), les retraites personnelles (10 jours par an) etc.
Nous avons donc appris beaucoup et avons été très impressionnés par ce mode de vie.
Marie-Noëlle
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