Centrafrique: L'Eglise fait face aux violences
Mille personnes ont trouvé refuge dans l'hôpital de Bangui, la capitale de Centrafrique afin d’échapper aux violences. Parmi les réfugiés, de nombreux enfants et personnes âgées. L'Eglise est présente à leurs côtés.
"Ces personnes se sont réfugiées à l’hôpital pour pouvoir au moins dormir", a indiqué Mgr Nzapalainga, archevêque de Bangui. "Notre travail est de leur porter un réconfort matériel et spirituel avec l’équipe de Caritas".
Suite à la prise de pouvoir en Centrafrique du chef de la rébellion Séléka Michel Djotodjia, fin mars 2013, le pays a plongé dans le chaos. La sécurité à Bangui, comme dans le reste du pays, demeure extrêmement précaire, au point que le Premier Ministre a demandé l’aide de la France et de la FOMAC (Force multinationale d’Afrique centrale) pour exécuter des opérations de sécurité à Bangui et dans toutes les régions du pays.
Suite à la prise de pouvoir en Centrafrique du chef de la rébellion Séléka Michel Djotodjia, fin mars 2013, le pays a plongé dans le chaos. La sécurité à Bangui, comme dans le reste du pays, demeure extrêmement précaire, au point que le Premier Ministre a demandé l’aide de la France et de la FOMAC (Force multinationale d’Afrique centrale) pour exécuter des opérations de sécurité à Bangui et dans toutes les régions du pays.
Des enfants qui souffrent
Mgr Nzapalainga confirme qu'à Bangui, "on entend le crépitement des armes et la peur demeure dans toutes les têtes et dans les cœurs de la population". Le sort des enfants constitue la principale préoccupation du prélat centrafricain, "car ils semblent vivre dans un état comateux". Mgr Nzapalainga indique qu'il va prochainement rencontrer un groupe d’orphelins dans un quartier qui a subi de violents saccages, afin de leur distribuer de la nourriture et de leur apporter du réconfort.
Mgr Nzapalainga confirme qu'à Bangui, "on entend le crépitement des armes et la peur demeure dans toutes les têtes et dans les cœurs de la population". Le sort des enfants constitue la principale préoccupation du prélat centrafricain, "car ils semblent vivre dans un état comateux". Mgr Nzapalainga indique qu'il va prochainement rencontrer un groupe d’orphelins dans un quartier qui a subi de violents saccages, afin de leur distribuer de la nourriture et de leur apporter du réconfort.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire