Thanksgiving : les Américains fêtent aujourd’hui l’action de grâce
Ce 28 novembre, les anglophones sont nombreux à célébrer leur traditionnelle Thanksgiving.
Ce quatrième jeudi du mois ne passera pas inaperçu pour la majorité des Américains. Proclamé « legal holiday » par le Congrès en 1941, l’action de grâce de la Thanksgiving est pourtant fêtée et reconnue depuis les années 1600.
Le partage de la dinde, symbole de l’action de grâce de Thanksgiving, est synonyme de joie et de retrouvailles au sein des familles. Mais sa signification va bien au-delà de la tradition culinaire. C’est avant tout un grand moment de commémoration et l’occasion de témoigner sa gratitude envers Dieu.
Une tradition née du soutien des Amérindiens
L’histoire remonte à l’année 1620, durant laquelle le navire anglais « Mayflower » partit de Plymouth à la conquête du nouveau monde. Parmi la centaine de passagers, 35 protestants (les Père pélerins) fuient les persécutions du roi d’Angleterre, Jacques Ier. Ils mettent pied à terre le 22 novembre 1620. Premiers colons à s’établir durablement sur le sol américain, ils fondent ainsi la colonie de New Plymouth.
Les rudes conditions hivernales décimeront la moitié de la colonie dès les premiers mois. Les tentatives de culture échouent et beaucoup meurent de faim. Ils seront toutefois aidés par les Indiens qui leur apprendront à faire pousser du maïs, à pêcher et à chasser. Leur vie s’améliore grâce à cette cohabitation. Après la première moisson, en 1621, les colons décidèrent de suivre la tradition indienne : se réunir autour d’un grand festin pour remercier la clémence de Dieu.
Ce quatrième jeudi du mois ne passera pas inaperçu pour la majorité des Américains. Proclamé « legal holiday » par le Congrès en 1941, l’action de grâce de la Thanksgiving est pourtant fêtée et reconnue depuis les années 1600.
Le partage de la dinde, symbole de l’action de grâce de Thanksgiving, est synonyme de joie et de retrouvailles au sein des familles. Mais sa signification va bien au-delà de la tradition culinaire. C’est avant tout un grand moment de commémoration et l’occasion de témoigner sa gratitude envers Dieu.
Une tradition née du soutien des Amérindiens
L’histoire remonte à l’année 1620, durant laquelle le navire anglais « Mayflower » partit de Plymouth à la conquête du nouveau monde. Parmi la centaine de passagers, 35 protestants (les Père pélerins) fuient les persécutions du roi d’Angleterre, Jacques Ier. Ils mettent pied à terre le 22 novembre 1620. Premiers colons à s’établir durablement sur le sol américain, ils fondent ainsi la colonie de New Plymouth.
Les rudes conditions hivernales décimeront la moitié de la colonie dès les premiers mois. Les tentatives de culture échouent et beaucoup meurent de faim. Ils seront toutefois aidés par les Indiens qui leur apprendront à faire pousser du maïs, à pêcher et à chasser. Leur vie s’améliore grâce à cette cohabitation. Après la première moisson, en 1621, les colons décidèrent de suivre la tradition indienne : se réunir autour d’un grand festin pour remercier la clémence de Dieu.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire