La fraternité, fondement et route pour
la paix.
Veillée de prière Carmel de Saint-Maur
31 décembre 2013-1°
Janvier 2014
Chant : PEUPLE DE LUMIERE T 601
Peuple de lumière, baptisé pour témoigner,
peuple d'Évangile, appelé pour annoncer les merveilles de Dieu à tous les vivants.
Parole de Dieu : Actes 10, 25-36
Prière silencieuse.Psaume 132
MESSAGE DU PAPE FRANÇOIS
POURLA CÉLÉBRATION
DE LA
JOURNÉE MONDIALE DELA PAIX
POUR
JOURNÉE MONDIALE DE
LA FRATERNITE,
FONDEMENT ET ROUTE POUR LA PAIX
1. Dans mon premier message pour la Journée mondiale de la Paix je désire adresser à
tous, personnes et peuples, le vœu d’une existence pleine de joie et
d’espérance. Dans le cœur de chaque homme et de chaque femme habite en effet le
désir d’une vie pleine, à laquelle appartient une soif irrépressible de
fraternité, qui pousse vers la communion avec les autres, en qui nous ne
trouvons pas des ennemis ou des concurrents, mais des frères à accueillir et à
embrasser. En effet, la fraternité est une dimension essentielle de l’homme,
qui est un être relationnel. La vive conscience d’être en relation nous
amène à voir et à traiter chaque personne comme une vraie sœur et un vrai frère
; sans cela, la construction d’une société juste, d’une paix solide et durable
devient impossible. Et il faut immédiatement rappeler que la fraternité
commence habituellement à s’apprendre au sein de la famille, surtout grâce aux
rôles responsables et complémentaires de tous ses membres, en particulier du
père et de la mère. La famille est la source de toute fraternité, et par
conséquent elle est aussi le fondement et la première route de la paix, puisque
par vocation, elle devrait gagner le monde par son amour.Le nombre toujours
croissant d’interconnexions et de communications qui enveloppent notre planète
rend plus palpable la conscience de l’unité et du partage d’un destin commun
entre les nations de la terre. Dans les dynamismes de l’histoire, de même que
dans la diversité des ethnies, des sociétés et des cultures, nous voyons ainsi
semée la vocation à former une communauté composée de frères qui s’accueillent
réciproquement, en prenant soin les uns des autres. Mais une telle vocation est
encore aujourd’hui souvent contrariée et démentie par les faits, dans un monde
caractérisé par cette “ mondialisation de l’indifférence ”, qui nous fait
lentement nous “ habituer ” à la souffrance de l’autre, en nous fermant sur
nous-mêmes.
Peuple de frères, peuple du partage, porte l'Évangile et la paix de Dieu.
Oraison ensemble :
Père de tous les hommes, accorde à tous les hommes de vivre dans la solidarité et la fraternité, pour que brille dans ce monde la lumière de ton amour, par Jésus, le Christ, notre Seigneur.
II.
Vous êtes tous des frères
Parole de Dieu : Mt 23, 8-9.Prière silencieuse.
Cantique AT 38 : Ez 36, 24-28
Suite du texte du Pape François :
La question
surgit spontanément : les hommes et les femmes de ce monde ne pourront-ils
jamais correspondre pleinement à la soif de fraternité, inscrite en eux par
Dieu Père ? Réussiront-ils avec leurs seules forces à vaincre l’indifférence,
l’égoïsme et la haine, à accepter les différences légitimes qui caractérisent
les frères et les sœurs ?
En paraphrasant
ses paroles, nous pourrions synthétiser ainsi la réponse que nous donne le
Seigneur Jésus : puisqu’il y a un seul Père qui est Dieu, vous êtes tous des
frères (cf. Mt 23, 8-9). La racine de la fraternité est contenue dans la
paternité de Dieu. Il ne s’agit pas d’une paternité générique, indistincte et
inefficace historiquement, mais bien de l’amour personnel, précis et
extraordinairement concret de Dieu pour chaque homme (cf. Mt 6, 25-30).
Il s’agit donc d’une paternité efficacement génératrice de fraternité, parce
que l’amour de Dieu, quand il est accueilli, devient le plus formidable agent
de transformation de l’existence et des relations avec l’autre, ouvrant les
hommes à la solidarité et au partage agissant.
En particulier, la
fraternité humaine est régénérée en et par Jésus Christ dans sa
mort et résurrection. La croix est le “lieu” définitif de fondation de
la fraternité, que les hommes ne sont pas en mesure de générer tout seuls.
Jésus Christ, qui a assumé la nature humaine pour la racheter, en aimant le
Père jusqu’à la mort, et à la mort de la croix (cf. Ph 2, 8), nous
constitue par sa résurrection comme humanité nouvelle, en pleine
communion avec la volonté de Dieu, avec son projet, qui comprend la pleine
réalisation de la vocation à la fraternité.
Jésus reprend
depuis le commencement le projet du Père, en lui reconnaissant le primat sur
toutes choses. Mais le Christ, dans son abandon à la mort par amour du Père,
devient principe nouveau et définitif de nous tous, appelés à
nous reconnaître en Lui comme frères parce qu’enfants du même Père. Il
est l’Alliance même, l’espace personnel de la réconciliation de l’homme avec
Dieu et des frères entre eux. Dans la mort en croix de Jésus, il y a aussi le
dépassement de la séparation entre peuples, entre le peuple de
l’Alliance et le peuple des Gentils, privé d’espérance parce que resté étranger
jusqu’à ce moment aux engagements de la Promesse. Comme on
lit dans la Lettre
aux Éphésiens, Jésus Christ est celui qui réconcilie en lui tous les
hommes. Il est la paix puisque des deux peuples il en a fait un seul,
abattant le mur de séparation qui les divisait, c’est-à-dire l’inimitié. Il a
créé en lui-même un seul peuple, un seul homme nouveau, une seule humanité
nouvelle (cf. 2, 14-16).
Celui qui accepte
la vie du Christ et vit en Lui, reconnaît Dieu comme Père et se donne lui-même
totalement à Lui, en l’aimant au-dessus de toute chose. L’homme réconcilié voit
en Dieu le Père de tous et, par conséquent, il est incité à vivre une
fraternité ouverte à tous. Dans le Christ, l’autre est accueilli et aimé en
tant que fils ou fille de Dieu, comme frère ou sœur, non comme un étranger,
encore moins comme un antagoniste ou même un ennemi. Dans la famille de Dieu,
où tous sont enfants d’un même Père, et parce que greffés dans le Christ, fils
dans le Fils, il n’y a pas de “vies de déchet”. Tous jouissent d’une
dignité égale et intangible. Tous sont aimés de Dieu, tous ont été rachetés par
le sang du Christ, mort et ressuscité pour chacun. C’est la raison pour
laquelle on ne peut rester indifférent au sort des frères.
Chant :
Sous le regard
de Dieu,Sous le regard du Père,
Chacun de nous a grâce entière
Dans le grand corps d'humanité
Du Christ ressuscité (bis) (1.2.3.4.5)
Prière ensemble :
Tu as tant aimé notre terre Seigneur, que tu as fait germer en elle ta justice, Jésus fruit de Marie et don du ciel. Par lui, plein de grâce et de vérité ta gloire a demeuré chez nous. Puisqu’il est venu à nous pour que nous revenions à toi, fais-nous voir son amour et donne-nous sa paix.
III. La fraternité éteint la guerre.
Parole de Dieu, 3, 3- 15Prière silencieuse.
Psaume 87
7. Dans l’année qui vient de s’écouler, beaucoup de nos frères et
sœurs ont continué à vivre l’expérience déchirante de la guerre, qui constitue
une grave et profonde blessure portée à la fraternité.
Nombreux sont les conflits qui se poursuivent dans l’indifférence
générale. Á tous ceux qui vivent sur des terres où les armes imposent terreur
et destructions, j’assure ma proximité personnelle et celle de toute l’Église.
Cette dernière a pour mission de porter la charité du Christ également aux
victimes sans défense des guerres oubliées, à travers la prière pour la paix,
le service aux blessés, aux affamés, aux réfugiés, aux personnes déplacées et à
tous ceux qui vivent dans la peur. L’Église élève aussi la voix pour faire
parvenir aux responsables le cri de douleur de cette humanité souffrante, et
pour faire cesser, avec les hostilités, tout abus et toute violation des droits
fondamentaux de l’homme]Pour
cette raison, je désire adresser un appel fort à tous ceux qui, par les armes,
sèment la violence et la mort : redécouvrez votre frère en celui qu’aujourd’hui
vous considérez seulement comme un ennemi à abattre, et arrêtez votre main !
Renoncez à la voie des armes et allez à la rencontre de l’autre par le
dialogue, le pardon, et la réconciliation, pour reconstruire la justice, la
confiance et l’espérance autour de vous ! « Dans cette optique, il apparaît
clair que, dans la vie des peuples, les conflits armés constituent toujours la
négation délibérée de toute entente internationale possible, en créant des
divisions profondes et des blessures déchirantes qui ont besoin de nombreuses années
pour se refermer. Les guerres constituent le refus concret de s’engager pour
atteindre les grands objectifs économiques et sociaux que la communauté
internationale s’est donnée »].
Cependant, tant qu’il y aura une si grande quantité d’armement en
circulation, comme actuellement, on pourra toujours trouver de nouveaux
prétextes pour engager les hostilités. Pour cette raison, je fais mien l’appel
de mes prédécesseurs en faveur de la non prolifération des armes et du
désarmement de la part de tous, en commençant par le désarmement nucléaire et
chimique.
Mais nous ne pouvons pas ne pas constater que les accords
internationaux et les lois nationales, bien que nécessaires et hautement
souhaitables, ne sont pas suffisants à eux seuls pour mettre l’humanité à
l’abri du risque de conflits armés. Une conversion des cœurs est nécessaire,
qui permette à chacun de reconnaître dans l’autre un frère dont il faut prendre
soin, avec lequel travailler pour construire une vie en plénitude pour tous.
Voilà l’esprit qui anime beaucoup d’initiatives de la société civile, y compris
les organisations religieuses, en faveur de la paix. Je souhaite que
l’engagement quotidien de tous continue à porter du fruit et que l’on puisse
parvenir à l’application effective, dans le droit international, du droit à la
paix, comme droit humain fondamental, condition préalable nécessaire à
l’exercice de tous les autres droits.
Viennent les cieux nouveaux et la nouvelle terre
Que ta bonté nous donnera !
Viennent les cieux nouveaux et la nouvelle terre
Où la justice habitera !
Prière ensemble :
Dieu
qui es de toujours à toujours, tu uses envers nous de patience pour que nous
arrivions au repentir. Tu nous donnes les jours et les années de notre vie pour
que nous comprenions notre fragilité et que nos cœurs pénètrent ta sagesse. Que
ton Esprit anime beaucoup d’initiatives en faveur de la paix. Que l’engagement
quotidien de tous porte du fruit et que l’on puisse parvenir à la paix en Jésus le Christ notre Seigneur. Parole de Dieu : Rm 12, 9- 18
Chant Psaume Z 71 (1.2.3.4.5.6)
Heureux le bâtisseur de la paix on l’appellera fils de Dieu ! (bis)
Texte du Pape
François :
L’horizon de la fraternité renvoie à la croissance en plénitude de tout
homme et de toute femme. Les justes ambitions d’une personne, surtout si elle
est jeune, ne doivent pas être frustrées ni blessées, l’espérance de pouvoir
les réaliser ne doit pas être volée. Cependant, l’ambition ne doit pas être
confondue avec la prévarication. Au contraire, il convient de rivaliser dans
l’estime réciproque. De même, dans les querelles, qui sont un aspect inévitable
de la vie, il faut toujours se rappeler d’être frères, et, en conséquence,
éduquer et s’éduquer à ne pas considérer le prochain comme un ennemi ou comme
un adversaire à éliminer.
La fraternité génère la paix sociale, parce qu’elle
crée un équilibre entre liberté et justice, entre responsabilité personnelle et
solidarité, entre bien des individus et bien commun. Une communauté politique
doit, alors, agir de manière transparente et responsable pour favoriser tout
cela. Les citoyens doivent se sentir représentés par les pouvoirs publics dans
le respect de leur liberté. Inversement, souvent, entre citoyen et
institutions, se glissent des intérêts de parti qui déforment cette relation,
favorisant la création d’un climat de perpétuel conflit.
Un authentique esprit de fraternité est vainqueur de
l’égoïsme individuel qui empêche les personnes de vivre entre elles librement
et harmonieusement. Cet égoïsme se développe socialement, soit dans les
multiples formes de corruption, aujourd’hui partout répandues, soit dans la
formation des organisations criminelles – des petits groupes jusqu’aux groupes
organisés à l’échelle globale – qui, minant en profondeur la légalité et la
justice, frappent au cœur la dignité de la personne. Ces organisations
offensent gravement Dieu, nuisent aux frères et lèsent la création, et encore
plus lorsqu’elles ont une connotation religieuse.
Je pense au drame déchirant de la drogue sur laquelle
on s’enrichit dans le mépris des lois morales et civiles, à la dévastation des
ressources naturelles et à pollution en cours, à la tragédie de l’exploitation
dans le travail. Je pense aux trafics illicites d’argent comme à la spéculation
financière, qui souvent prend un caractère prédateur et nocif pour des systèmes
économiques et sociaux entiers, exposant des millions d’hommes et de femmes à
la pauvreté. Je pense à la prostitution qui chaque jour fauche des victimes
innocentes, surtout parmi les plus jeunes, leur volant leur avenir. Je pense à
l’abomination du trafic des êtres humains, aux délits et aux abus contre les
mineurs, à l’esclavage qui répand encore son horreur en tant de parties du
monde, à la tragédie souvent pas entendue des migrants sur lesquels on spécule
indignement dans l’illégalité. Jean
XXIII a écrit à ce sujet : «
Une société fondée uniquement sur des rapports de force n’aurait rien d’humain
: elle comprimerait nécessairement la liberté des hommes, au lieu d’aider et
d’encourager celle-ci à se développer et à se perfectionner » Mais l’homme peut
se convertir et il ne faut jamais désespérer de la possibilité de changer de
vie. Je voudrais que ce message soit un message de confiance pour tous, aussi
pour ceux qui ont commis des crimes atroces, parce que Dieu ne veut pas la mort
du pêcheur, mais qu’il se convertisse et qu’il vive
Intercession :
En ce jour où nous échangeons des vœux, prions Dieu notre Père : Quand les temps furent accomplis, il nous a donné son Fils, né de
R/
Père très bon écoute tes enfants !
1. Accorde- nous d’aborder cette nouvelle année comme une étape vers l’avenir de joie où Marie nous précède auprès de toi.
2. Accorde-nous d’apprendre de Marie à garder dans notre cœur le souvenir de tes merveilles, et à renouveler ainsi notre fidélité .
3. Accorde-nous de déchiffrer le sens de notre vie à la lumière de tes promesses, et de proclamer avec Marie : Saint est ton Nom.
4. Accorde à ton Eglise de savoir communiquer son espérance, tout en demeurant auprès du Christ, comme Marie, celle qui intercède pour les hommes.
Prière ensemble :
Dieu d’amour, tu as fait d’une humble femme de notre
race
Evangile selon saint Luc : Lc 22, 25-27
Chant VIENNE Vienne
Vienne
Suite
du texte du Pape François :
10. La fraternité a besoin d’être
découverte, aimée, expérimentée, annoncée, et témoignée. Mais c’est seulement
l’amour donné par Dieu qui nous permet d’accueillir et de vivre pleinement la
fraternité.
Le nécessaire réalisme de la politique et
de l’économie ne peut se réduire à une technique privée d’idéal, qui ignore la
dimension transcendante de l’homme. Quand manque cette ouverture à Dieu, toute
activité humaine devient plus pauvre et les personnes sont réduites à un objet
dont on tire profit. C’est seulement si l’on accepte de se déplacer dans le
vaste espace assuré par cette ouverture à Celui qui aime chaque homme et chaque
femme, que la politique et l’économie réussiront à se structurer sur la base
d’un authentique esprit de charité fraternelle et qu’elles pourront être un instrument
efficace de développement humain intégral et de paix.
Nous les chrétiens nous croyons que dans
l’Église nous sommes tous membres les uns des autres, tous réciproquement
nécessaires, parce qu’à chacun de nous a été donnée une grâce à la mesure du
don du Christ, pour l’utilité commune (cf. Ep 4, 7.25 ; 1Co 12,
7). Le Christ est venu dans le monde pour nous apporter la grâce divine,
c'est-à-dire la possibilité de participer à sa vie. Ceci implique de tisser une
relation fraternelle, empreinte de réciprocité, de pardon, de don total de soi,
selon la grandeur et la profondeur de l’amour de Dieu offert à l’humanité par
celui qui, crucifié et ressuscité, attire tout à lui : « Je vous donne un
commandement nouveau : c’est de vous aimer les uns les autres. Comme je vous ai
aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres. Ce qui montrera à tous les
hommes que vous êtes mes disciples, c’est l’amour que vous aurez les uns pour
les autres » (Jn 13, 34-35). C’est cette bonne nouvelle qui réclame de
chacun un pas de plus, un exercice persistant d’empathie, d’écoute de la
souffrance et de l’espérance de l’autre, y compris de celui qui est plus loin
de moi, en s’engageant sur le chemin exigeant de l’amour qui sait se donner et
se dépenser gratuitement pour le bien de tout frère et de toute sœur.
Le Christ embrasse tout l’homme et veut
qu’aucun ne se perde. « Dieu a envoyé son fils dans le monde, non pas pour
juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé » (Jn 3,
17). Il le fait sans opprimer, sans contraindre personne à lui ouvrir les
portes de son cœur et de son esprit. « Le plus grand d’entre vous doit prendre
la place du plus jeune, et celui qui commande, la place de celui qui sert » –
dit Jésus-Christ – « moi je suis au milieu de vous comme celui qui sert » (Lc
22, 26.27). Toute activité doit être, alors, contresignée d’une attitude de
service des personnes, spécialement celles qui sont les plus lointaines et les
plus inconnues. Le service est l’âme de cette fraternité qui construit la paix.
Que Marie, Mère de Jésus, nous aide à
comprendre et à vivre tous les jours la fraternité qui surgit du cœur de son
Fils, pour porter la paix à tout homme sur notre terre bien-aimée.
Prière à
la Vierge
Marie pour la Paix , (Jean-Paul II)
Donne la paix à notre terre Ô Mère de miséricorde, nous confions à ton cœur et à ton amour le peuple entier et l'Église de cette terre. Garde-nous de toute injustice, de toute division, de toute violence et de toute guerre. Garde-nous de la tentation et de l'esclavage du péché et du mal. Sois avec nous !Aide-nous à vaincre le doute par la foi, l'égoïsme par le service, l'orgueil par la mansuétude, la haine par l'amour. Aide-nous à vivre l'Évangile et la folie dela Croix afin de pouvoir
ressusciter avec ton Fils à la vraie vie, avec le Père, dans l'unité de
l'Esprit Saint.Ô Mère du Christ, sois notre réconfort et donne force à tous
ceux qui souffrent : aux pauvres, à ceux qui sont seuls, aux malades, aux
non-aimés, aux abandonnés. Donne la paix à notre terre divisée; et à tous, la lumière
de l'espérance.
Donne la paix à notre terre Ô Mère de miséricorde, nous confions à ton cœur et à ton amour le peuple entier et l'Église de cette terre. Garde-nous de toute injustice, de toute division, de toute violence et de toute guerre. Garde-nous de la tentation et de l'esclavage du péché et du mal. Sois avec nous !Aide-nous à vaincre le doute par la foi, l'égoïsme par le service, l'orgueil par la mansuétude, la haine par l'amour. Aide-nous à vivre l'Évangile et la folie de
La justice et la paix sur la terre des hommes (bis)
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